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Nous avons le plaisir de vous proposer ici, une combinaison inédite vous que vous puissiez rejouer la guerre du Péloponnèse opposant les Athéniens et les Spartiates... Ce jeu d'échecs historique est incontestablement aux couleurs des cités les plus légendaires de la Grèce Antique, Sparte et Athènes. Sparte ou Σπάρτη était une ville à l'élan militaire terrible, sa rivalité avec Athènes, dont l'apogée fut la guerre du Péloponnèse (431-404 av.J-C) lui donnera victoire et renommée ! Ce jeu d'échecs complet représente les grandes figures grecques, des divinités aux simples hommes en passant par les demi-dieux et les héros vous donnera l'esprit si conquérant de la Grèce Antique ! Fierté de notre civilisation gréco-romaine ces 2 cités incarnent encore aujourd'hui la puissance et le démocratie. Ce jeu d'échecs est entièrement fait à la main par nos artisans. Ces pièces ont été soigneusement polies pour leurs donner cet aspect brillant. Elles sont le fruit d'artisans eux-mêmes grecs, passionnés par les mythes fondateurs de leur culture et l'esprit de cette période antique. Ce jeu d'échecs illuminera votre intérieur et vos parties d'échecs des rayonnements d'une civilisation époustouflante !
Σπάρτη (veut dire "éparse" du fait de la constitution du peuple en petites cités, comme Athènes qui garde un "s" final en souvenir de cette association de cités, on disait "les Athènes" auparavant, majoritairement constituée de paysans) est une cité dont le mythe résonne encore dans nos imaginaires par le biais de la culture, le film 300 a largement contribué à faire connaître ce qui semble bien être le modèle d'un peuple fondamentalement guerrier. Les spartiates sont plus souvent appelés par les diverses habitants des cités grecques Lacédémoniens : Λακεδαίμων.
Ils sont haïs par les Athéniens. Ce qui peut s'expliquer par le modèle politique totalement différent de Sparte par rapport à Athènes, les rivalités pour le territoires et évidemment les guerres successives. Ils étaient des adversaires de taille et d'une intelligence certaine. Une anecdote nous montre bien qui ils étaient. Les Spartes, en bon stratèges, avaient inscrit sur leurs bouclier un Σ (sigma "s" grec) pour que leurs adversaires viennent combattre en toute quiétude sans l'angoisse de savoir que c'était les Spartes qu'ils allaient devoir combattre ! Evidemment la victoire fut totale. Les Spartes, furent un peuple ou "l'exception grecque", le système politique reposait sur la communauté et arrachant chaque citoyen à toute individualité, dans le but d'en faire des guerriers redoutables.
L'ἀγωγή c'est-à-dire l'éducation revet une grande importance dans la vie de la cité de Sparte. En effet les enfants sont la relève de la cité, par laquelle la cité se regénère, assure la survivance de la cité dans le temps et le défense des hommes devenus anciens(même s'ils n'étaient probablement pas si nombreux ! ). Les jeunes Spartes, sont d'abord triés sur le volet. Selon les dires de Plutarques, à chaque naissance les Spartes cherchaient à savoir si l'enfant était vaillant, et s'il ne semblait pas l'être il le jetait dans le gouffre des Apothètes. Cependant, malgrès des recherches archéologiques nous n'avons retrouvé aucun ossement dans ce gouffre précis.
Les Spartes soumettaient tout de même assurément leurs enfants à un rude entraînement. A la dure, détachés de leurs famille pour aller combattre. Ce qui en faisait de féroces guerriers redoutés dans toute la Grèce. La famille n'est d'ailleurs pas exaltée puisqu'elle serait un substitut à la communauté civique, de la cité. On peut interpréter comme cela le peu d'attention qui est fait à la fidélité, et le fait que les membres d'un couple n'habitent pas ensembles. Cela est aussi considéré comme une atteinte à la passion du couple. Une chose assez étonnante, la mère ordonne à son fils de rentrer à la cité avec son bouclier, soit vivant, victorieux ou dessus, c'est-à-dire mort. Il était très mal vu de rentrer vivant de la guerre, cela était suspect et l'individu était alors mis aux bancs de la société. La mort sur le champ de bataille était exaltée dès le plus jeune âge, c'était une mort noble que celle que l'on reçoit, le coup fatal pris de face.
La pièce du fou est donc inspirée des Kouros ou statues de jeunes hommes retrouvés un peu partout en Grèce et d'inspiration égyptienne comme on le remarque à la coiffure ainsi qu'aux épaules représentées de manière fortes, droites et imposantes, ce qui n'était pas le cas dans les standards de l'art grec. Le corps est représenté avec une grande rigidité, propre à l'art égyptien que nous retrouvons dans les hiéroglyphes.
La tour de ce jeu d'échecs historique est inspirée des piliers divins doriques du Parthénon sur l'Acropole (440 av. J-C). Une construction en l'honneur d'Athéna, déesse de la stratégie militaire, et de la sagesse s'il en est ! Cette magnifique construction est faite de marbre uniquement ! Toutes les pièces de ce jeu d'échecs hellénique sont inspirées de l'esprit guerrier des Spartes et évidemment pour les Athéniens aussi dont le nom et le culte de la ville provient, pour qui le combat était primordial. Cette pièce met en évidence la culture commune des grecs et athéniens, bien que bellicistes ils partagent tous deux le même Panthéon, et Parthénon !
C'est sur le modèle de cette éducation ἀγωγή que les combattants Spartiates figurent comme Léonidas qui est le pion de ce jeu d'échecs guerrier. En effet c'est l'image d'un héros, certes. Mais ce héros illustre tous les combattants Spartes. Vous le reconnaîtrez aisément avec son casque typique à crête rouge, ainsi que le bouclier typique portant un Λ en signe de la première lettre des Lacédémoniens : Λακεδαίμων. Cela avait peut-être aussi une utilité militaire, la forme permettait peut-être de faire dévier la lance de l'ennemi vers le bas, de le déséquilibrer et ainsi avoir l'avantage dans la position face à lui.
Dans ce jeu d'échecs Lacédémoniens Léonidas est donc à l'honneur la raison en est qu'aucun roi n'a jamais été aussi héroïque que lui. Aucun guerrier n'a combattu aussi courageusement, aucune bataille n'a été perdue aussi glorieusement. Le roi Léonidas et ses 300 soldats ont fait le sacrifice le plus notoire de tous les temps en combattant les Perses dans la bataille des Thermopyles en 480 avant J-C. Leur histoire et la trahison tragique qui a conduit à leur défaite, est racontée, écrite, chantée, filmée et mémorisée à l'infini à travers les siècles à ce jour... Réveillez la puissance de Léonidas et vainquez votre adversaire sur un champ non de bataille mais d'échecs !
En effet si nous avons sur ce jeu, cavalier et fantassins cela représente bien une donnée essentielle de la vie guerrière à Athènes ! Les citoyens athéniens se répartissent depuis les réformes du législateur Solon à la fin du VIe s. av. J.-C. en quatre classes censitaires : les pentacosiomédimnes, les cavaliers, les zeugites, les thètes.
"Producteurs de 500 mesures", "possesseurs de chevaux", de "bœufs" ou simples "salariés de la terre" : la cité reste essentiellement préoccupée par la capacité de ses citoyens à tirer leur subsistance de la terre qui les a fait naître, même si, dès le VIe siècle, l'Attique ne suffit plus depuis longtemps à nourrir ses habitants.
La guerre du Péloponnèse (431-404 av. J.-C.)[2] est une guerre de la Grèce antique menée par la Ligue de Delian, dirigée par Athènes, contre la Ligue du Péloponnèse, dirigée par Sparte. Les historiens ont traditionnellement divisé la guerre en trois phases. Dans la première phase, la guerre d'Archidamie, Sparte a lancé des invasions répétées de l'Attique, tandis qu'Athènes a profité de sa suprématie navale pour faire des raids sur les côtes du Péloponnèse et tenter de supprimer les signes de troubles dans son empire. Cette période de la guerre se termine en 421 avant J.-C., avec la signature de la Paix de Nicias. J.-C., avec la signature de la Paix de Nicias. Ce traité fut cependant rapidement mis à mal par la reprise des combats dans le Péloponnèse. En 415 av. J.-C., Athènes dépêche une force expéditionnaire massive pour attaquer Syracuse, en Sicile ; l'attaque échoue de façon désastreuse, avec la destruction de toute la force en 413 av. J.-C.
Ce fut le début de la phase finale de la guerre, généralement appelée "guerre des dieux" ou "guerre ionienne". Dans cette phase, Sparte, qui reçoit désormais le soutien de l'Empire achéménide, soutient les rébellions des États sujets d'Athènes en mer Égée et en Ionie, sapant l'empire d'Athènes et, finalement, privant la ville de la suprématie navale. La destruction de la flotte athénienne lors de la bataille d'Égospotami mit effectivement fin à la guerre, et Athènes se rendit l'année suivante. Corinthe et Thèbes demandèrent qu'Athènes soit détruite et que tous ses citoyens soient réduits en esclavage, mais Sparte refusa...
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